Posts Tagged ‘aimer’
Réflexions sur la fidélité
Laisser celui qu’on aime entièrement libre. Le laisser vivre sa vie, c’est la chose la plus difficile au monde.
C’est si bon d’apprendre toujours à nouveau à renoncer à l’autre. Au fond, une relation n’est rien d’autre, ou n’aurait besoin d’être autre chose qu’une continuelle renonciation l’un à l’autre, afin de se rencontrer encore plus intensément sur une plaine plus élevée.
Etty Hillesum, « Aider Dieu » Lire le reste de cette entrée »
« La seule nostalgie qui ait un avenir est celle du présent. »
Manuel de survie
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Carnets pour Dieu (10) : Un grain de sa Beauté.
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Je vous parle de ma lampe, l’ampoule qui m’éclaire me réchauffe aussi.
Amour elle est
En tout petit éclat de Dieu
Comme font mille soleils
Un grain de sa Beauté.
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Nos plus beaux rêves pourraient se réaliser tels quels – ce qui inclut qu’ils peuvent ne pas se réaliser tels quels.
Les signes du réel à venir ne sont pas l’avenir.
L’esprit fait ce qu’il peut. Et moi aussi.
Rêve de nuit. Je partirais de bon matin, disant que je vais bien.
Mais cette fois je n’irais pas plus haut, plutôt je descendrais,
tout en bas de l’oubli. Je laisserais ces mots qui m’ont appris à vivre par magie,
et je m’inclinerais vers le silence.
Trop tôt mon cœur, et puis trop tard.
Demain peut-être, vous qui passez, vous guérirez pour moi, pour nous ;
ces mots, vous les retrouverez au bon endroit.
Trop tard mon cœur, et puis trop tôt.
Une femme pourtant attend sur mon chemin,
qui aimante ma vie.
Tant ont vécu d’aimer qu’elles en sont mortes,
et je n’ai pas encore trouvé comment les consoler.
L’attente est lente et violente.
Je trouverai pourtant, je guérirai pour vous.
Les signes du réel à venir ne sont pas l’avenir.
L’esprit fait ce qu’il peut. Et moi aussi.
Rêve de nuit. Je partirais de bon matin, disant que je vais bien.
Mais cette fois je n’irais pas plus haut, plutôt je descendrais,
tout en bas de l’oubli. Je laisserais ces mots qui m’ont appris à vivre par magie,
et je m’inclinerais vers le silence.
Trop tôt mon cœur, et puis trop tard.
Demain peut-être, vous qui passez, vous guérirez pour moi, pour nous ;
ces mots, vous les retrouverez au bon endroit.
Trop tard mon cœur, et puis trop tôt.
Une femme pourtant attend sur mon chemin,
qui aimante ma vie.
Tant ont vécu d’aimer qu’elles en sont mortes,
et je n’ai pas encore trouvé comment les consoler.
L’attente est lente et violente.
Je trouverai pourtant, je guérirai pour vous.
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« J’ai regardé autour de nous La paix flottait toujours »
Allongée près de moi
Tu m’as souri
D’un visage délié
Tes boucles enfin apprivoisées
Tranquille dans l’herbe sage
Cela nous suffisait
J’ai regardé autour de nous
La paix flottait toujours
Et c’est ainsi que je me suis levé
Songant que lorsque je te reverrai
Enfin nos yeux feront l’amour
La paix flottait toujours
Songant que lorsque je te reverrai
Enfin nos yeux feront l’amour
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« Dieu, c’est ce que savent les enfants »
Christian Bobin écrit souvent très beau et vraiment bien. Lire le reste de cette entrée »
[Témoignage] Bonheur, mot tabou ?
Le Bonheur est-il réservé à l’idiot du village Lire le reste de cette entrée »
[Contribution]: « étonner l’autre »